vraiment TZARRIBLEEEE …!   

(Pour emprunter mes éloges au méta-argot irrésistible dans lequel est narré cette dystopie brutale.)

J’ai tellement été séduite que je pardonne même à Burgess son dernier chapitre, un peu «cheesy». (De toute faço, on peut faire du déni comme les Américains qui ne l’ont même pas inclus dans leur édition et Kubrick qui ne l’a pas mis en scène dans son film mythique du même nom.)

À propos du dit film, et tant qu’à être dans l’esprit  d’Halloween, voici un truc marrant.

 (J’aurais trouvé amusant de faire comme Bart pour avoir l’occasion de porter  UN CHAPEAU MELON, mais j’ai des cils faibles d’Asiatique et bien que je pique régulièrement du linge à mon frère, j’ai encore un peu de mal avec demander la permission d’emprunter les bobettes d’autrui.)